J’écris toutes les frénésies
le stupre et la luxure,
la maman et la putain,
mille et une scènes de cul,
en couleurs et en ardeurs.
Ça s’effeuille comme à l’automne
poésie des corps étreints,
poésie des vies froissées.
Tous ces désirs,
ces peaux l’une contre l’autre,
ces sexes qui se cherchent,
tous ces désirs,
où s’en vont-ils ?
Entre dans la danse,
entre dans la transe,
amour perpétré,
ivresses,
chants.
Ah ! la belle alliance de la mine et de la plume !