C’est l’été, il fait chaud, les vêtements volent, les bas soyeux glissent sur les cuisses et révèlent la nudité du reste… Bas de soie, c’est la thématique de deux recueils collectifs Paulette, et pour faire monter la température, je vous livre un petit extrait de ma nouvelle, parue dans le recueil Bas de soie et talons aiguilles.
Il faisait si chaud, ce jour-là. C’est tout naturellement que les vêtements sont tombés, que nous nous sommes retrouvées, elle et moi, vêtues de nos seuls bas, enlacées, enchevêtrées. Nul doute que cette scène aurait fait le bonheur d’un pornographe. Les seins lourds de Julie écrasés contre les miens, je ne pouvais retenir mes gémissements tandis que ses doigts valsaient sur mon clitoris. Elle s’y attardait, me noyait de plaisir, mais je ne voulais pas perdre pied, je voulais la faire gémir, moi aussi. Sa fente, chaude et liquide, m’attirait irrésistiblement. Mes doigts s’y sont perdus tout de suite, comme engloutis, et je l’ai vue fermer les yeux, ses beaux yeux bruns. Elle a soupiré à son tour. Que j’aimais naviguer en elle, plonger profondément mes doigts fins, dénicher le repli de chair qui déclenchait la houle !
Les deux recueils sont publiés dans la collection Paulette, vous pouvez trouver Bas de soie et talons aiguilles ici sur Numilog ou ici sur Amazon. Le deuxième recueil est intitulé Bas de soie et dentelles, vous le trouverez ici sur Numilog ou ici sur Amazon.
Je me demande quel malin plaisir tu as éprouvé à nommer une des tes héroïnes (« aux seins lourds ») Julie 😉
Oui, c’est assez drôle d’appeler une héroïne comme moi… et de lui donner des caractéristiques qui ne sont pas forcément les miennes.